CONDITIONNEMENT

Publié le par Colibri

Ce devait être le jour de Noël, j'ai pris le loisir de regarder un film sur internet: "L'enfant du Tonnerre"*. En résumé, c'est l'histoire d'un enfant né dans des circonstances dramatiques, et qui a, en fait, comme adulte, des pouvoirs hors du commun, mais il est rejeté par beaucoup du fait qu'il est albinos. Bien sûr, il est examiné par des scientifiques "de bonne volonté, qui ne recherchent que la vérité", et il a également affaire avec la police, car il a été placé, comme jeune adulte, dans un orphelinat à l'ambiance violente et inhumaine, dont il veut s’échapper. C'est en voyant les réactions des policiers et de la psychologue que j'ai eu une (petite) révélation: "mais ces gens sont des robots !" Ils ont parfois la tentation de se conduire humainement, mais cette tentation est vite étouffée par leur conditionnement !

Bien sûr, il ne s'agit que d'un film, mais il est révélateur de ce que le pouvoir a fait de nous tous. Au début, je me suis dit: "Ces Américains sont des robots, relax, mais des robots". De fait, j'ai une tendance critique envers les USA, (dont je viens d'apprendre que, selon ses propres documents officiels, ce n'est pas une nation, mais une corporation dont le propriétaire serait la Couronne d'Angleterre! Décoiffant, s'pas?), car c'est là que se situe le pouvoir le plus visible et le plus effectif de la Cabale, celui qui  est à l’origine de l'Union Européenne et en a fait sa colonie.  Je me suis vite rendu compte que, dans nos sociétés évoluées technologiquement, nous sommes tous à la même enseigne ! Je voyais que nous étions manipulés, mais je n'avais pas encore vu que nous étions conditionnés à réagir de façon stéréotypée à tout stimulus extérieur et même intérieur. En d’autres termes, on nous a inoculé des réflexes de type pavlovien aux situations que nous rencontrons.

Non seulement la "science" n'est pas un instrument libérateur qui nous révélerait la vérité des choses, mais elle a largement contribué à notre conditionnement. Les "sciences humaines" ont le pompon dans ce domaine. On pourrait les surnommer les "sciences inhumaines" sans risque d'exagération. Elles ont été, par leur polarisation, un instrument majeur du conditionnement de l'espèce humaine. Et le père Freud a été largement mis sur l’avant de la scène car il s’est révélé être le champion des artisans de l'inoculation des poisons culturels de l'époque moderne, de nos conditionnements majeurs. Notre science contemporaine, dont sont issues les technologies dont nous sommes si fiers, n’est qu’ignorance de l’humain. Cela nous vaut de vivre dans une ambiance mercantile et factice.

Par son ampleur et sa profondeur, ce conditionnement est remarquable d'ingéniosité et d'efficacité dans la malfaisance.

Évidemment, il est des réminiscences de notre nature humaine que ces artisans de l'horreur ne peuvent pas totalement évincer, comme les réactions de révolte et les réactions d'altruisme. Pourtant ils ont su exploiter ces réactions en en déviant les effets.

. Les réactions de révolte ont été canalisées par des conditionnements à la violence, ce qui fait leur affaire: la violence, en s'opposant à une injustice ou autre problème, ne fait que le renforcer, et, à son paroxysme, elle évolue en conflit armé, ce qui est tout bénef en réduisant la population mondiale, et en gonflant leurs profits par la vente d’armes. De surcroît, elle a l’énorme avantage de cultiver la peur, qui est un facteur majeur de la manipulation des populations. Outre cet avantage, les puissants se nourrissent de la peur du peuple !

. Les réactions d'humanité, les réactions altruistes, ont été canalisées, par la télévision principalement, à travers les émissions "Grand Messe" genre téléthon, cancer machin, sida truc. C'est encore un procédé d’une grande ingéniosité: il permet de pomper une part supplémentaire de richesse, donc d’affaiblir encore le pouvoir d’achat des individus, mais  l’argent récolté profite aux laboratoires de recherche qui travaillent dans la juste ligne de l’idéologie scientifique, ou plutôt scientiste, et qui participent ainsi à la perpétuation du conditionnement  de l’être humain. Avantages annexes : cette recherche va permettre de trouver de nouvelles molécules  "miracle" , qui feront faire de gros bénéfices aux sociétés pharmaceutiques, tout en aggravant  l’état de santé général des humains. Cerise sur le gâteau : c’est aussi un moyen d’occulter toute thérapeutique marginale (non chimique) efficace dont l’usage réduirait le pouvoir et les profits des laboratoires.

 

Tout ça est hallucinant ! C’est le système de contrôle dont nous sommes victimes depuis des millénaires, mais aussi que nous avons conforté par notre ignorance. Encore une fois, cette machination contre l’humanité est d’une ampleur et d’une ingéniosité remarquables. Mais l’ingéniosité dans la négation de la nature humaine ne peut pas durer. Et, de fait, il y a un os dans ce plan satanique, c’est la prise de conscience par l’humanité, en tout cas de très nombreux êtres humains à la surface de la planète Terre, du fait que nous sommes manipulés et que nous vivons dans une ambiance de mensonge généralisé.

Il y a une constante dans cette prise de conscience, c’est la non violence. Les manipulateurs ont voulu nous faire croire que la violence était la seule solution pour faire évoluer une société. Comme le reste de leurs conditionnements, c’est une tromperie absolue : la violence ne fait que renforcer le pouvoir arbitraire, ce qui est évidemment le but premier de la Cabale.

Alors, quelle est la solution si la violence est une contre-solution ? Elle ne peut venir que de notre véritable nature humaine, que de la constante immuable de ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes, de ce qui gouverne toute vie, quelle qu’en soit la forme : la vérité, la beauté, l’amour.

Et si l’amour était la grande affaire de la vie? Si nous ne le vivons pas encore assez pour en connaître l’essence et l’immensité, ce n’est qu’une question de mois ou de semaines : notre vraie nature est sur le point de nous être révélée, et ce sera un éblouissement.

Les agissements de la Cabale sont potentiellement terminés. La Cabale est grillée. Nous n’avons pas de rancœur à cultiver contre elle, elle fait partie de la terrible expérience d’enfermement que nous avons tous accepté de vivre.

C’est notre prise de conscience et notre amour, même encore hésitants, même à peine émergents, qui sont les principaux instruments de notre libération.

Rigolons, les Amis, à nous la vraie liberté !

* http://terrenouvelle.ca/video/lenfant-du-tonnerre-powder

 

Il y a quelques jours, ce document (soulignements "d'origine") est venu confirmer ma "découverte" :

 

 Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée même de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

 Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe: on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l'émotionnel ou l'instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.

 On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

Aldous Huxley  1939 

                                                                                   


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